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James Hartley - CaptainZero

 :: Le début d'une vie. :: Vos papiers svp. :: Fiches validées.
Lun 9 Sep - 15:06

James Hartley
  • 27 ANS (12-05-1992)
  • Rochester, NY
  • Américain
  • Hétéro
  • Célibataire
  • Travail au zoo de Central Park / Musicien


Son animal favori est devenu le pingouin après qu’il ait emménagé à New York et trouvé son emploi au zoo. Les pingouins du zoo l’aiment aussi.
Il aime le café, mais préfère le chocolat chaud.
Il aime aussi beaucoup le whisky
Il a un groupe de musique
Il aime s’asseoir dans un coin tranquille de Central Park pour écrire ses chansons.
Il n’a jamais touché et ne touchera jamais à tout type de drogue illégale.
Il aime beaucoup la verdure. Ça l’aide à s’apaiser.
Il joue de la guitare, de la basse et du piano. Il sait également chanter.
Il est lamentable avec les instruments à vent, sauf la flute à bec.
Il s’endort la plupart du temps avec son téléphone dans les mains.


J’ai toujours été renfermé. Je ne suis pas fermé à parler aux gens, je n’ai juste jamais été le genre à faire le premier pas. Du moins, c’était beaucoup plus le cas avant. Aujourd’hui, je fais ma vie, mais je suis moins gêné. Je manque cependant de confiance en les gens. Je peux l’accorder, mais jamais complètement. Ce n’est pas de la mauvaise foi, c’est simplement qu’à la fin de la journée, il n’y aura toujours que Raven qui me comprendra réellement. Accorder ma confiance a toujours été difficile aussi. J’ai tendance à être nerveux quand je me trouve encerclé de gens, sauf évidemment les membres du groupe avec qui je suis confortable. Pourtant, même avec eux, dès que je passe quelques heures avec des gens, je dois m’isoler par la suite pour souffler un peu, recharger mes batteries. Facilement, je peux me sentir agressé si on entre dans ma bulle sans être invité.
J’aime toujours la solitude autant qu’avant. J’aime les grands espaces verts. Ça m’aide à respirer, ne pas étouffer. Central Park est donc, dans tout New York, mon endroit préféré. Je ne suis pas un mauvais garçon au mauvais tempérament. Au fond, je suis un gars qui veut être aimé comme je mériterais de l’être. Je suis un petit garçon qui a peur d’être détesté, attaqué, mais surtout abandonné. Dans cette optique, c’est difficile de ne pas vivre enfermé entre les murs que je me suis bâti autour de moi. En dehors de Raven, mes seuls véritables amis sont mes instruments de musique. Eux ne me trahiront jamais.
J’aime la solitude, mais même moi, j’ai parfois peur dans la solitude. Enfant constamment terrorisé de voir ma mère se lever pour me frapper, j’ai grandi avec la conviction que je ne serais jamais comme elle. Pourtant, je sais au fond de moi que lorsque je suis en colère, véritablement en colère, je suis capable d’être violent. Ça en prend beaucoup pour me mettre hors de moi, je suis patient. Très patient. Trop patient. Mais vu les états dans lesquels je peux me mettre, il vaut mieux que je le sois. Que je m’isole et que je respire. Dans la solitude, généralement, Raven est là. Je ne suis jamais seul. Jamais vraiment, tant que j’ai mon téléphone sur moi.

Recherches/Autres
Caractère

Je ne connais pas mon père. Ma mère a toujours refusé de me donner la moindre information à son sujet, si ce n’est qu’il a foutu le camp quand il a su qu’elle était enceinte. Je ne sais pas si c’est vrai non plus, car vu ce que ma mère était, je ne serais pas surpris qu’elle ait menti pour me faire taire, ou pour se donner le bon rôle. Mais je ne suis pas aveugle. Je n’ai jamais vu ma mère dans une relation sérieuse. J’ai vu un bon nombre d’homme aller et venir dans sa chambre, des gens que je ne reconnaitrais même pas sur la rue. Sans doute qu’elle non plus ne les reconnaîtrait même pas, vu la drogue et l’alcool qu’elle consomme…

Je suis né d’une grossesse difficile, mais j’ai survécu. Pourquoi ? Bonne question. Il fut un temps où je me disais que ça aurait été mieux que je ne survive pas. Après tout, je n’étais toujours qu’une bouche à nourrir de plus. Pas que ma mère cuisinait, non. C’est moi qui me nourrissais moi-même le matin et le soir. Pour le déjeuner, je ne mangeais pas. On n’avait pas assez d’argent pour manger trois repas. Ma mère n’en mangeait qu’un, n’ayant pas besoin de plus avec l’alcool et la drogue.

Pourtant je l’aimais, ma mère. Je n’étais qu’un garçon naïf qui voulait bien croire qu’au plus profond de son cœur, elle m’aimait, que les coups qu’elle me donnait dans ses élans de colère, c’était de l’amour, une façon de m’élever et me faire comprendre ce que je devais faire et ne devait pas faire. J’ai même cru que lorsqu’elle m’appelait « le déchet », j’étais au moins son déchet favori. Mais ce qu’elle aurait voulu que je fasse, c’est disparaître. Je le sais maintenant, à quel point j’ai été bête et naïf de croire une telle chose, mais à l’époque, j’avais tellement envie que ma mère m’aime, j’avais besoin d’un parent, de quelqu’un à admirer, et les hommes qu’elle ramenait souvent ne restaient jamais assez longtemps pour que je sache non seulement quel était leur nom, et ils ne m’adressaient pas vraiment la parole.

J’ai appris la vérité de façon très brutale à mes 11 ans, quand j’ai vu cet homme sortir sans t-shirt, et le jean détaché, sortir de la chambre de ma mère. Dégoûté, je lui ai dit de s’habiller, et il a répliqué en me poussant dans le mur, sous le regard de ma mère qui a seulement croisé les bras et m’a dit de me mêler de ce qui me regarde, la prochaine fois. Inutile de vous dire que ce matin-là, je suis arrivé à l’école en larme, réalisant à quel point je n’étais qu’un simple déchet, et à quel point je n’avais aucune importance à ses yeux. Mes professeurs ont essayé de me demander ce que j’avais, mais je n’ai rien dit. Je connaissais peut-être la vérité, mais je n’étais pas pour autant prêt à l’accepter et à dénoncer ma mère. Elle était ma mère, et j’étais son petit garçon. Je devais la protéger. Non ?

À partir de ce jour, je me suis contenté d’exister, sans vraiment vivre. J’ai été un enfant au cœur vide, que rien ne faisait vibrer. J’ai essayé de raisonner ma mère, de la sortir de son enfer. J’ai essayé de lui dire que je l’aimais, moi, et que j’avais besoin d’elle, que j’avais besoin qu’elle se ressaisisse, mais quand une personne est bien dans sa merde, c’est impossible de l’en sortir. Ce n’est pas faute d’avoir essayé, à maintes reprises, au fil des années. J’ai même jeté dans la toilette ses dernières doses de cocaïne une fois. Quand elle s’en est rendu compte et qu’ elle m’a posé la question, je lui ai dit qu’elle avait tout consommé avec l’enfoiré qu’elle avait ramené la veille. Celui qui avait osé me dire que ma mère était bonne et que j’avais détesté tout autant que les autres. Elle a donc cru qu’il lui avait volé. J’ai utilisé cette excuse à quelques reprises, jusqu’à ce qu’elle décide de confronter son amant de la veille devant moi, et qu’il lui fasse réaliser que c’était moi qui jetais sa drogue. Je me suis pris la correction de ma vie ce jour-là. J’avais 13 ans. Et si je n’avais pas été juste assez fort pour me protéger, j’aurais sans doute fini à l’hôpital. À la place, j’ai fini clouer au lit, avec des blessures qui ne me donnaient pas envie de bouger du tout.

Ma scolarité, je l’ai majoritairement passé seul. Surtout le collège. J’ai toujours préféré la compagnie des livres que j’empruntais à la bibliothèque, plutôt que les gens. Les gens n’étaient pas nécessairement gentils avec moi, mais ce n’était rien en comparaison du mal que je vivais à la maison. Alors la solitude, la tranquillité, ça ne me gênait pas. Au lycée, en revanche, je me suis fait deux amies, les plus fidèles encore à ce jour : La musique, et Raven.

J’ai découvert à 14 mon amour pour la musique. J’aimais déjà chanter, mais je ne le faisais que pour moi. Près du lycée, il y avait cette boutique de musique qui m’appelait depuis longtemps et c’est en grattant les cordes d’une guitare, dès ma première visite, que j’ai découvert que j’avais du talent. C’est en fait le propriétaire qui me l’a dit. Il s’est montré patient avec moi. Plusieurs fois par semaine après ce jour-là j’ai visité la boutique pour essayer les instruments. J’arrivais à apprendre le piano sur un clavier, la basse, mais la guitare restait mon instrument préféré. Je vibrais en avec les cordes sous mes doigts, à chaque fois. Le propriétaire de la boutique m’a permis de revenir, même si je n’avais pas l’argent pour acheter quoi que ce soit. Il m’a même appris quelques trucs. Il est vite devenu mon modèle, mon idole.

C’est mon intérêt soudain pour la musique qui m’a permis de faire la connaissance d’Amelia, que je connaissais surtout sous le pseudo de Raven. Après quelques recherches, je me suis inscrit sur un forum d’entraide sur la musique où j’ai commencé à correspondre avec elle, qui changera sans aucun doute ma vie entière. Elle me connaissait sous le nom de CaptainZero (oui je sais, c’est nul comme pseudo). Au début, nous échangions seulement au sujet de la musique. Elle me fascinait beaucoup avec toutes ses connaissances et encore à ce jour, je suis certain qu’elle saurait m’en apprendre encore beaucoup. Au fil du temps, elle est devenue ma première véritable amie. Des connaissances, j’en avais, mais des amis, je n’en avais aucun. Raven et moi, au fil de nos conversations, on a fini par se confier l’un à l’autre, apprenant au fil des discussions que nous vivions dans des situations similaires. Des parents violents, drogués, pour qui on ne comptait pas. Elle faisait des fugues, en revanche. Pas moi. Je n’osais pas laisser ma mère seule avec elle-même plus longtemps que mes journées d’école. Lui parler me faisait autant de bien que lorsque je grattais les cordes de la guitare de la boutique. Bientôt, ma vie cessait de tourner dès que je recevais un message d’elle. Elle était la personne la plus importante de ma vie, même si je ne l’avais jamais rencontré.

À partir de là, les choses ont commencé à s’améliorer pour moi. J’ai commencé à travailler dans la boutique de musique pour me faire un peu d’argent. D’abord en faisant le ménage, puis comme vendeur. J’en connaissais maintenant un bon rayon sur la musique, et après deux ans à me voir plusieurs fois par semaine, le propriétaire me considérait presque comme un fils. À 15 ans, je suis aussi tombé amoureux pour la première fois. Du moins, je croyais que c’était ça, être amoureux. Je n’ai jamais vraiment su, vu le nombre de relation sans lendemain que ma mère a eu. Mais elle, je l’aimais bien, je l’aimais beaucoup. Mais elle n’a jamais su l’étendu de la tristesse de ma vie, contrairement à Raven. J’étais convaincu à l’époque que je voulais simplement lui épargner ma misère, la protéger de cet environnement. Nous vivions dans deux mondes complètement différents après tout.

C’est elle et ses parents qui m’ont offert ma première guitare, celle-là même que j’utilisais souvent à la boutique et pour laquelle j’essayais d’économiser mes paies pour me l’offrir. Mais évidemment, la drogue de ma mère coutait chère, et j’ai dû couvrir l’argent qui manquait pour le loyer à la maison. Je n’étais plus une source de problème, mais une source de revenus, apparemment. J’ai été très touché par ce geste, n’ayant jamais vraiment eu de cadeaux à mes anniversaires, ou à Noël. Pendant un peu plus de trois ans, j’ai vécu des Noël et des anniversaires magiques grâce à elle et ses parents. Mais apparemment, toute bonne chose a une fin.

J’avais 19 ans quand elle m’a quitté. Elle était au courant de Raven, et si elle avait accepté que j’apprécie énormément cette fille que je ne connaissais que sur internet, après plus de trois ans, elle a commencé à avoir de la difficulté à accepter que le reste du monde cesse d’exister à chaque message que je recevais de Raven. Devenue jalouse de ma seule amie, elle m’a laissé tomber, et sans doute avec raison. Et c’est vers Raven que je me suis tourné pour me confier, confier ma peine. Je n’avais jamais connu l’amour, sous n’importe lequel de ses angles, avant elle. Pas même l’affection de quelqu’un. Je n’avais jamais eu le moindre câlin avant qu’elle ne débarque dans ma vie, alors forcément, ce fut un coup difficile à accuser. Mais le silence de Raven le fut davantage.

J’ignore encore à ce jour ce qui s’est passé, mais Raven a cessé de répondre à mes messages. Et j’ai vite oublié ma peine d’amour à cause de cela. J’ai ressenti de la colère, certes, mais surtout de la peur. Avais-je dit un truc de trop ? Lui était-il arrivé quelque chose ? Je savais très bien dans quel monde elle vivait, après tout. Mais que pouvais-je y faire ? J’ai attendu une réponse pendant une semaine, deux semaines, un mois, trois mois… Rien. Sans elle, sans ses messages, ma vie est devenue bien sombre. J’étais à nouveau seul au monde, alors mis à part la musique, je me suis trouvé un autre ami : le whisky.

Un soir, ma mère était sortie, j’ai trouvé sa bouteille de whisky. Il devait bien y avoir une raison pour laquelle elle aimait plus son alcool et sa drogue que son propre fils, non? Alors j’ai bu sa bouteille. Je n’avais jamais touché à l’alcool avant, justement à cause de sa dépendance à elle. On dit que l’alcoolisme est héréditaire, apparemment. Il a suffi d’un seul coup de faiblesse pour que je tombe de haut, dans cet enfer. Quand ma mère est rentrée ce soir-là, et qu’elle s’est rendu compte que j’avais volé son alcool, j’ai eu droit à la correction de ma vie, réellement. Normalement, j’étais assez fort pour la retenir de me faire du mal. Cette fois, j’étais trop ivre. Elle m’a frappé si fort que j’en ai eu mal, malgré l’engourdissement de l’alcool dans mon système.

Le matin de mes 21 ans, je me suis réveillé et j’ai prit le petit déjeuner que j’avais l’habitude de prendre. De la chambre de ma mère est sorti un homme, sans t-shirt, le pantalon ouvert. J’ai revu la scène dans ma tête, de lorsque j’avais 11 ans. J’ai eu exactement la même réaction. « Sérieusement ? Habille-toi au moins ? » Et j’ai eu la même réponse. « De quoi j’me mêle ? Et puis t’es qui d’abord ? » Puis la dispute a éclaté. Avec cet homme, j’en suis venu aux poings après qu’il m’ait agressé, et alors j’ai décidé que c’en était assez en voyant ma mère, dans le cadre de la porte de sa chambre, me regarder comme le déchet que j’avais toujours été. Me voir saigner ne lui a absolument rien fait. J’ai vu l’indifférence dans son regard et alors j’ai pris ma décision : Je quittais Rochester dès aujourd’hui.

Je suis parti avec ma valise et ma guitare, après que ma mère m’ait supplié de rester parce qu’elle n’arriverait pas à payer le loyer sans moi. J’ai tant essayé de la sauver, maintenant je devais me sauver moi-même. Je n’avais pas envie de devenir comme elle, et mes deux dernières années dans l’alcool me rapprochaient peu à peu de cette situation. J’ai donc mis les voiles pour me rendre à New York. Je suis emménagé dans le Bronx et je me suis trouvé un travail au zoo de Central Park. Étrangement, je m’y suis rapidement plus. Il y a quelque chose de rassurant à travailler avec les animaux. Eux au moins ne te trahissent pas. Ils sont réconfortants et ne jugent personne. Je me suis fait ami avec les pingouins et les singes. Ils ne veulent pas de mon argent, et ne veulent pas me faire de mal, ou me voir disparaître. J’étais plus apprécié par eux que par ma propre mère.

L’année suivante, j’ai bâti un groupe de musique avec un batteur et un bassiste. Si je ne travaillais pas, je passais mon temps malgré tout à Central Park, sous un arbre, à écrire mes chansons, ou à jouer pour le public pour quelques pièces, mais surtout pour les sourires que j’ai vus. Je me suis fait une nouvelle petite amie de cette façon, une personne merveilleuse, ou bien je l’avais pensé. À quelques reprises, elle m’a donné des coups après lesquels elle s’excusait à chaque fois. Et j’ai été assez bête pour la pardonner. Après tout, j’avais été un déchet toute ma vie. Pourquoi est-ce que ça aurait dû être différent maintenant ?

Raven, deux ans plus tard, a reprit contact avec moi, et je n’en ai pas parlé à ma petite amie. En vérité, je savais qu’elle allait mal réagir et je ne voulais pas vivre ce drama là. Pourtant, elle l’a découvert en fouillant mon courriel, chose que je n’ai pas pardonné du tout quand elle a lu mes messages. Je ne disais rien de compromettant, donc je n’étais gêné de rien. J’étais juste dégouté qu’elle ait fouillé mes affaires et qu’elle ait osé me faire une crise de jalousie par la suite. Ma confiance était déjà difficile à obtenir, et elle venait de la briser. J’ai donc rompu avec elle.

Raven et la musique n’étaient que mes seules sources de joie. Les temps passés avec le groupe, même si ce n’était pas pour la musique, était très bien aussi, mais pas aussi bien que ce que je ressentais comme apaisement quand je parlais à Raven, ignorant complètement que Raven n’était autre que la fille que j’appréciais peu à l’école, qui était trop souvent absente et un peu trop turbulente à mon goût. Mais tout ça changera bientôt…

Histoire
Le rôliste a la parole.¸
- PSEUDO : anouk - PRÉNOM : Anouk - ÂGE : 28 ans. - VILLE/PAYS : Québec - DERNIER MOT: J'aime la poutine, et vous ? -

GROUPE CHOISI : Bronx - AVATAR :
Code:
<b>Aaron T. Johnson</b> - @"James Hartley" [color=#cc0000]-PRIS[/color]
James Hartley
New-Yorkais
James Hartley
James Hartley
Inscrit le : 09/09/2019 Messages : 60 Points : 12 Avatar : Aaron T. Johnson Je suis né le : 12/05/1992 j'ai donc : 31
James Hartley
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Lun 9 Sep - 16:40
Bienvenue ! hello

Bon jeu parmi nous ! Very Happy
Samuel Harper
Membre du mois
Samuel Harper
Samuel Harper
Inscrit le : 23/08/2019 Messages : 115 Points : 26 Avatar : Josh Hutcherson Crédits : Zagri's Prod Je suis né le : 21/01/1993 j'ai donc : 31
Samuel Harper
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Lun 9 Sep - 16:40
Merci !! bluedance
James Hartley
New-Yorkais
James Hartley
James Hartley
Inscrit le : 09/09/2019 Messages : 60 Points : 12 Avatar : Aaron T. Johnson Je suis né le : 12/05/1992 j'ai donc : 31
James Hartley
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Lun 9 Sep - 18:41
Hey bien, très heureuse de voir un beau duo débarquer sur le forum ! Un grand merci à toi d'avoir choisi tgnyc !  wouwou




Bon séjour parmi nous et surtout amuse toi au maximum !

Kikou, tu y es arrivé !


Afin de te faire une petite place bien à toi sur le forum, je t'invite à faire tes demandes de liens/sujets. Tu peux aussi créer des pré-liens/scénarios pour aider les invités à obtenir un lien dès le départ, tout en trouvant TA perle rare.

Bien sur, si tu as des questions, problèmes ou autre n'hésite pas à contacter le staff du forum. Nous nous ferons un plaisir de répondre afin de t'aider.

Aussi, nous t'invitons à voter sur les top-sites; 1 - 2 - 3.
ET à laisser un message sur notre fiches de; prd et bazzart.    

Pour finir, je te souhaites de passer du bon temps sur le forum !

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Livia Wellington
FondAdmin
Livia Wellington
Livia Wellington
Inscrit le : 11/07/2019 Messages : 101 Points : 16 Avatar : Candice Accola. Crédits : wcstedrose (avatar) / careforbesdaily (gif) Multi-comptes : Elyse Lizowska (Elizabeth Olsen).
Je suis né le : 13/05/1987 j'ai donc : 36
Livia Wellington
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Lun 9 Sep - 18:47
Merciiii bourré
James Hartley
New-Yorkais
James Hartley
James Hartley
Inscrit le : 09/09/2019 Messages : 60 Points : 12 Avatar : Aaron T. Johnson Je suis né le : 12/05/1992 j'ai donc : 31
James Hartley
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Mar 10 Sep - 20:43
Bienvenue parmi nous Very Happy Quelqu'un du Quebec yeahh Very Happy Tu es de quel coin ?
Everett Decker
New-Yorkais
Everett Decker
Everett Decker
Inscrit le : 11/07/2019 Messages : 151 Points : 25 Avatar : Tom Holland
Everett Decker
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Mar 10 Sep - 22:03
Merciii !!

Je suis à environ à 45min de Montréal, en Montérégie Very Happy
James Hartley
New-Yorkais
James Hartley
James Hartley
Inscrit le : 09/09/2019 Messages : 60 Points : 12 Avatar : Aaron T. Johnson Je suis né le : 12/05/1992 j'ai donc : 31
James Hartley
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Mar 17 Sep - 19:27
Ah génial Very Happy ! *désolé du retard xD*
Everett Decker
New-Yorkais
Everett Decker
Everett Decker
Inscrit le : 11/07/2019 Messages : 151 Points : 25 Avatar : Tom Holland
Everett Decker
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Mar 17 Sep - 19:31
Pas de soucis. J'veus bien te pardonner pour cette fois hihi
James Hartley
New-Yorkais
James Hartley
James Hartley
Inscrit le : 09/09/2019 Messages : 60 Points : 12 Avatar : Aaron T. Johnson Je suis né le : 12/05/1992 j'ai donc : 31
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